Page:Franc-Nohain - Les Mémoires de Footit et Chocolat, 1907.djvu/77

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

attendre de ses confrères ; ils ne l’empêcheraient pas d’avoir du succès, son succès, c’est entendu, mais pour ce qui serait de s’y associer, d’y aider, d’y contribuer, il n’y fallait pas songer.

Et Footit se désespérait à la pensée de tout ce qu’il y avait là, pourtant, dans sa tête de clown novateur, de tant d’idées comiques que rendait irréalisable l’impossibilité de trouver une collaboration, quelqu’un qui voulût bien, et de franc jeu, « jouer avec lui »…