l’avait plongé et qui était demeuré, en France, plaida ma cause de la manière qui suit :
» Le décret impérial du 15 novembre 1807 porte, comme maintenu sur la liste des émigrés, Hüe à la résidence d’Altona, qualification de valet de chambre de madame la comtesse de Lille. Ce décret est rendu sur le sénatus-consulte du 6 floréal an X qui accorde amnistie pour fait d’émigration à tout individu qui en est prévenu et qui n’est pas rayé définitivement et maintient ceux de cette classe qui le premier vendémiaire an XI n’auraient pas satisfait aux conditions qui y sont fixées.
» François Hüe, mon frère, a été suivant l’acte du Directoire exécutif et la Déclaration du ministre
étaient profondes. J’ai vu peu de prêtres dont la piété fût plus aimable et la charité plus grande », écrivait, en 1887, la baronne André Hüe au sujet de M. Liautard.