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FIGURE

DOUZIÈME.




Te voilà, mon aimable brune,
Avec cette Roue à la main,
Te voilà comme la Fortune,
Auſſi regles-tu mon deſtin.

Je laiſſerois tout l’or du Pactole & du Tage
Pour un des mille appas que L’Amour vient m’offrir.
Mais la Fortune, ô ciel ! la Fortune eſt volage :
Ne lui reſſemble point tu me ferois mourir.