Page:François-Félix Nogaret, L'Arétin François, 1787.djvu/48

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

FIGURE

HUITIÈME.




Auprès de ſa déeſſe on doit être à genoux ;
M’y voilà : tes faveurs ſont mon bien & ma gloire.
Le beau corps ! Au toucher le ſatin eſt moins doux.
Je te ſacrifierois le manger & le boire,
 De toi ſeule j’ai ſoif & faim.
Que ton con ſe prépare à la plus ferme attaque,
Mon vit s’enflamme encore, en paſſant par ta main :
Il t’offre tout Paphos, tout Cythère & Lampſaque.