Page:François-Félix Nogaret, L'Arétin François, 1787.djvu/36

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

FIGURE

CINQUIÈME




Ô Vit, à mon ſecours ! toi ſeul es mon tréſor ;
Viens, ah ! viens rafraîchir ma brûlante matrice :
 Ta perle vaut mieux qu’un puits d’or.
C’eſt proprement un vit, un vit d’Impératrice.
Sous mes agiles doigts il reprend ſa longueur,
Il éleve & brandit ſa tête rubiconde..
Vit, imbibe mes flancs d’un foutre créateur,
Qui d’un vit, ton égal, enrichiſſe le monde !