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PARODIE

de l’Entrée d’Orosmane dans Zaire.




Innocente Roſette, « avant que l’hymenée
Joigne à jamais nos cœurs & notre deſtinée, »
J’ai cru ſur votre con, ſur mon vit, tour-à-tour,
Devoir, en droit fouteur, vous parler ſans détour.
Des bougres effrénés, dont la liſte eſt très-ample,
Les exécrables mœurs ne ſont point mon exemple.
Ils diſent que le cul, favorable au plaiſir
Offre un champ plus étroit, & plus doux à ſaiſir.
Que du premier anus ſe formant une gaîne,
Les vits les plus fluets s’y trouvent à la gêne,
Et qu’au ſortir du con, un athlete éreinté
Se ranime à l’attrait de cette nouveauté ;
Mais, criſtalline à part, ſa ſuite eſt trop cruelle :
On arrête, on enferme, ou l’on rôtit pour elle,
De Loyola je ſais qu’un tas de ſectateurs,
De la fange des culs pourceaux inquiſiteurs,
Faiſant à leur excès ſervir l’autel de Trône,

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