Page:Fréchette - Les Fleurs boréales.djvu/86

Cette page n’a pas encore été corrigée

 
C’était un lieu charmant, une roche isolée,
Seule, perdue au loin dans la bruyère eu fleur ;
La ronce y rougissait, et le merle siffleur
Y jetait les éclats de sa note perlée.