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Archevêché de Montréal

Montréal, 2 juillet 1922. Madame,

Vous avez eu la bonté de me faire lire le travail que vous vous proposez de livrer à l’impression : “ L’Art d’être une bonne Mère”. Je veux vous dire que je l’ai lu avec un vif intérêt. Je ne suis pas en mesure d’en apprécier la valeur technique ; je m’en remets à de bons juges à qui je l’ai soumis et qui l’ont trouvé excellent. J’en puis au moins louer l’exactitude de doctrine et l’inspiration chrétienne. Je suis sûr qu’il intéressera vos lectrices et qu’il leur fera du bien. Ce sont des qualités que l’on ne trouve pas toujours dans les livres qui traitent d’un pareil sujet.

Je prends la liberté de vous féliciter et de souhaiter à votre livre la plus large diffusion, surtout quand je sais que votre intention est de le vendre au profit d’une œuvre de charité qui nous est chère.

Croyez, Madame, à mes sentiments dévoués.

Georges, Ev. de Phil., Adm. Apost.