Page:Fournier - La Fille de Molière - 1863.djvu/59

Cette page n’a pas encore été corrigée

e}} Oui... mais, je t'en supplie, Pardon! Madelaine C'est insensé! L'on t'excusera, toi, C'est le profil des fous bien avérés,- mais moi ! C'est inouï ! j'endosse, et cela m'exaspère, Un ridicule affreux qu'avait tué mon père. Rivale des Cathos, et sœur des Madelons. La fille de Molière est précieuse! Allons! C'est absurde, entends-tu !... L'affreuse lettre ! Jeanne Arrête ! Si tu la connaissais, tu verrais. Je t'y prête Des soupirs épurés et doux comme les miens, Madelaine C'est bien le moins. N'importe, avec toi je deviens Romanesque, et partant, sotte. Jeanne Ah! Madelaine C'est synonyme ! J'appelle avec transport Étienne, Cléonyme, N'est-ce pas ? Provençal, à part Que dit-elle? Madelaine Et toi, Claude, Altamon! Provençal, à Madelaine Ah! vous faites erreur... Madelaine Moi? {{personnage|Proven