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CHAPITRE IX.

connaissances expérimentales que nous n’avons point encore acquises.

Les expériences indiquent que, pour les températures peu élevées, une portion extrêmement faible de la chaleur obscure jouit de la même propriété que la chaleur lumineuse ; il est vraisemblable que la distance où se portent les impressions de la chaleur qui pénètre les solides, n’est pas totalement insensible, et qu’elle est seulement fort petite : mais cela n’occasionne aucune différence appréciable dans les résultats de la théorie ; ou du moins, ces différences ont échappé jusqu’ici à toutes les observations.

FIN.