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THÉORIE DE LA CHALEUR.

en comparant cette équation à celle-ci

qui exprime une propriété connue de sinus d’arcs croissants en progression arithmétique, on en conclut ou il ne reste plus qu’à déterminer la valeur de l’arc

La valeur générale de étant

on aura, pour satisfaire à la condition l’équation

d’où l’on tire ou étant la demi-circonférence et un nombre entier quelconque, tel que on en peut déduire les valeurs de ou Ainsi toutes les racines de l’équation en qui donnent les valeurs de sont réelles négatives et fournies par les équations :

Supposons donc qu’on ait divisé la demi-circonférence