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DISCOURS

philomat., ann. 1818, pag. 1 et ann. 1820, pag. 60) l’extrait d’un mémoire sur la température constante ou variable des habitations, et l’exposé des principales conséquences de notre analyse des températures terrestres.

M. Alexandre de Humboldt, dont les recherches embrassent toutes les grandes questions de la philosophie naturelle, a considéré sous un point de vue nouveau et très-important, les observations des températures propres aux divers climats. (Mémoire sur les lignes isothermes. Société d’Arcueil, tom. III, pag. 462) ; (Mémoire sur la limite inférieure des neiges perpétuelles, Annales de Chimie et de Physique, tom. V, pag. 102, ann. 1817).

Quand aux équations différentielles du mouvement de la chaleur dans les liquides, il en a été fait mention dans l’histoire annuelle de l’Académie des Sciences. Cet extrait de notre mémoire en montre clairement l’objet et le principe. (Analyse des travaux de l’Académie des Sciences, par M. De Lambre, année 1820).

L’examen des forces répulsives que la chaleur produit, et qui déterminent les propriétés statiques des gaz, n’appartient pas au sujet analytique que nous avons considéré. Cette question liée à la théo-