pératures ne soit pas à chaque instant une quantité finie ;
ou doit donc avoir l’équation
ou
153.
En mettant pour et leurs valeurs tirées de l’équation
et désignant par la quantité
on a
on connaît ainsi d’une manière distincte ce que représente
chacun des termes de cette équation.
En les prenant tous avec des signes contraires et les multipliant
par le rectangle le premier exprime combien
la molécule reçoit de chaleur par les deux faces perpendiculaires
aux , le second combien elle en reçoit par
ses deux faces perpendiculaires aux le troisième combien
elle en reçoit par la face perpendiculaire aux et le quatrième
combien elle en reçoit du milieu. L’équation exprime
donc que la somme de tous ces termes du premier ordre
est nulle, et que la chaleur acquise ne peut être représentée
que par des termes du second ordre.
154.
Pour parvenir à cette équation (B) il faut considérer une
des molécules dont la base est à la surface du solide, comme