mite no 1. Cheminement à peu près parallèle aux strates redressées.
s | Vitesses. m | |||
Commencement des vibrations | 2,087 | 632 | ||
Milieu du 1er maximum | 0,252 | 218 | ||
Commencement du 2e maximum | 0,492 | 112 | ||
Milieu du 2e maximum | 0,692 | 91 | ||
Fin des vibrations sensibles | 1,312 | 42 |
2e essai à 115 mètres avec 6 kilogrammes de dynamite no 1. Cheminement à peu près parallèle aux strates redressées.
s | Vitesses. m | |||
Commencement des vibrations | 0,182 | 632 | ||
Milieu du 1er maximum | 0,392 | 294 | ||
Commencement du 2e maximum | 0,642 | 179 | ||
Milieu du 2e maximum | 0,792 | 145 | ||
Fin des vibrations sensibles | 1,812 | 63 |
Des expériences ci-dessus, il résulte qu’une distance de a été parcourue en 0s,095, ce qui donne une vitesse de 632 mètres par seconde pour les premières vibrations sensibles.
En résumé, ces expériences semblent indiquer que la propagation des vibrations ne se fait pas de la même façon à la surface du sol, que lorsqu’on évite le cheminement superficiel. Dans le premier cas, il y a, pour un ébranlement unique, une série de maxima successifs, et le phénomène se prolonge longtemps. Dans le second cas, il n’y a qu’un maximum observable et les vibrations s’éteignent rapidement.
En un mot, les photographies obtenues à distance dans une mine ressemblent à celles que donnent à la surface du sol les ébranlements voisins de la cuve à mercure.