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se proposoit le mariage comme la voye du vrai bonheur & du repos de la vie. Une union si sainte & si respectable étoit fondée sur l’estime & l’inclination mutuelle. On demandoit : est-elle vertueuse ? est-elle sage ? est-il honnête homme ? cela suffisoit. Dans ce siecle-ci, ce sont des qualités de surérogation. A-t-il de l’argent ? en a-t-elle ? Dieu pourvoira au reste. Un doüaire & une dot, il n’est pas question d’autre chose. Le mariage est devenu une affaire de