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partie, celle qui pratiquait la loi avec vous ; dominez votre chagrin et suivez mes pas.
anasoûyâ et priyamvadâ. Père, comment rentrer dans le bois des mortifications, qui n’est plus qu’un désert par l’absence de Sakountalâ ?
kanva. C’est l’amitié qui fait voir les choses ainsi. (Il fait quelques pas, en se parlant à lui-même.) En vérité, après avoir envoyé Sakountalâ dans la famille de son époux, j’éprouve de la satisfaction ; d’où vient cela ?
C’est que
« Cette jeune femme est vraiment le bien d’un autre ; après l’avoir, aujourd’hui, renvoyée à celui qui l’a épousée, ma conscience est aussi pure que je puis le désirer, comme lorsqu’on a restitué un dépôt. »
(Tous sortent.)
FIN DU QUATRIÈME ACTE.