quel propos, pour marquer l’étonnement, l’admiration, le mécontentement, etc., et sans aucun motif ‖ peu us.
— billahi-llazi ⴱⵍⵂⵍⵣⵉ (m. à m. « par Dieu celui que ») commencement d’une formule arabe ‖ par Dieu ! (je jure par Dieu ! je le jure par Dieu !) ‖ formule de serment ‖ peu us.
ⵉⵍ iell ‖ v. ⵍ oult.
ⵉⵍⵉⵣ iouliouz ⵉⵍⵉⵣ (latin : « iulius ») sm. (s. s. pl.) ‖ juillet (mois de juillet du calendrier julien) ‖ peu us. ‖ v. ⵍ tallit.
ⵉⵍⵍ ouilal ⵉⵍⵍ va. prim. ; conj. 71 « ouksaḍ » ; (ieiloŭl, ieiloûl, éd iouilal, our ieiloul) ‖ faire aller au grand trot [un chameau qu’on monte] (act.) ; aller au grand trot (le suj. étant une p. montant un chameau, ou un chameau monté ou en liberté) (n.) ‖ v. ⵂⵍ ahel « courir ».
— souilel ⵙⵉⵍⵍ va. f. 1 ; conj. 162 « soukseḍ » ; (iessoŭilel, iessoûilel, éd isouilel, our iessouilel) ‖ faire [une p.] faire aller au grand trot [un chameau qu’elle monte] (se c. av. 2 acc.) ; faire aller au grand trot [une p. montant un chameau, ou un chameau monté ou en liberté] (se c. av. 1 acc.).
— toûilâl ⵜⵉⵍⵍ va. f. 18 ; conj. 260 « toûksâḍ » ; (itoûilâl, our itouilal) ‖ faire hab. aller au grand trot (act.) ; aller hab. au grand trot (n.).
— soûilâl ⵙⵉⵍⵍ va. f. 1.18 ; conj. 260 « toûksâḍ » ; (isoûilâl, our isouilal) ‖ faire hab. [une p.] faire aller au grand trot (se c. av. 2 acc.) ; faire hab. aller au grand trot (se c. av. 1 acc.).
— tăilalt ⵜⵉⵍⵍ⵿ⵜ sf. nv. prim. ; (pl. tăilâlîn ⵜⵉⵍⵍⵏ) ‖ fait de faire aller au grand trot ; fait d’aller au grand trot ‖ sign. aussi « grand trot (allure du grand trot) (en parlant d’un chameau) » ‖ p. ext. « temps de grand trot (temps plus ou moins long pendant lequel on va sans interruption au grand trot) (en parlant d’un chameau) ».
— ăsouilel ⵙⵉⵍⵍ sm. nv. f. 1 ; φ (pl. isouilîlen ⵙⵉⵍⵍⵏ), daṛ souilîlen ‖ fait de faire [une p.] faire aller au grand trot ; fait de faire aller au grand trot.
ⵉⵍⵍ ăilal ⵉⵍⵍ sm. (pl. ăilâlen ⵉⵍⵍⵏ ; fs. tăilalt ⵜⵉⵍⵍ⵿ⵜ ; fp. tăilâlîn ⵜⵉⵍⵍⵏ) ‖ masc. pintade mâle. — fém. pintade femelle ; pintade (sans préciser le sexe) ‖ p. ext. tăilalt signifie « étoffe de coton tissée au Soudan, à fond indigo pointillé de blanc », et ăilal signifie « étoffe de coton tissée au Soudan, à fond indigo pointillé de points blancs un peu plus grands que ceux de la tăilalt (et qlqf. mêlés d’un peu de rouge) ». La tăilalt est plus portée que l’ăilal ; tous 2 sont des étoffes de luxe ; ils se vendent en pièces de 0m,04c à 0m,08c de large et de longueur qlconque ; ils servent à faire des tékamist, des afer, des pantalons, des turbans, et toute espèce de vêtements.
ⵉⵍⵍ siillel ‖ v. ⵍⵍ ilal.
— é̆ilel ‖ v. ⵍⵍ ilal.
— teilelt ‖ v. ⵍⵍ ilal.