p. ou un an.] » ‖ diffère d’esfeḍ « nettoyer [une p., un an., une ch.] (en brossant, époussetant, essuyant, enlevant par un procédé qlconque, à sec et sans secouer, la poussière, le sable, la terre, la matière en poudre qlconque qui sont sur eux) ; enlever [la poussière, le sable, la terre, une matière en poudre qlconque de sur une p., un an., une ch.] (en brossant, époussetant, essuyant, ou par un autre procédé, à sec et sans secouer) ».
— sefreḍ ⵙⴼⵔⴹ va. f. 1 ; conj. 150 « seksen » ; (issĕfreḍ, iessîfreḍ, éd isefreḍ, our issefreḍ) ‖ faire balayer ‖ se c. av. 2 acc. ‖ a t. les s. c. à c. du prim. au s. act.
— tefreḍ ⵜⴼⵔⴹ vn. f. 3bis ; conj. 99 « bereġ » ; (ittĕfreḍ, iettîfreḍ, éd iettefreḍ, our ittefreḍ) ‖ être balayé ; se balayer ‖ a t. les s. c. à c. du prim.
— fârreḍ ⴼⵔⴹ va. f. 5 ; conj. 220 « kâssen » ; (ifârreḍ, our iferreḍ) ‖ balayer hab. ‖ a aussi les s. pas. et pron. ‖ a t. les s. c. à c. du prim.
— sâfrâḍ ⵙⴼⵔⴹ va. f. 1.7 ; conj. 230 « târeġâh » ; (isâfrâḍ, our isefriḍ) ‖ faire hab. balayer ‖ se c. av. 2 acc. ‖ a t. les s. c. à c. de la f. 1.
— tâtefrâḍ ⵜⵜⴼⵔⴹ vn. f. 3bis.7 ; conj. 230 « târeġâh » ; (itâtefrâḍ, our itetefriḍ) ‖ être hab. balayé ; se balayer hab. ‖ a t. les s. c. à c. de la f. 3bis.
— tîfrâḍ ⵜⴼⵔⴹ vn. f. 3bis.13 ; conj. 247 « tîksân » ; (itîfrâḍ, our itefriḍ) ‖ m. s. q. le pr.
— ăfaraḍ ⴼⵔⴹ sm. nv. prim. ; φ (pl. iferâḍen ⴼⵔⴹⵏ), daṛ ferâḍen ‖ fait de balayer ‖ a aussi les s. pas. et pron. « fait d’être balayé » et « fait de se balayer » ‖ a t. les s. c. à c. du prim.
— ăsefreḍ ⵙⴼⵔⴹ sm. nv. f. 1 ; φ (pl. isefrîḍen ⵙⴼⵔⴹⵏ), daṛ sefrîḍen ‖ fait de faire balayer ‖ a t. les s. c. à c. de la f. 1.
— ătefreḍ ⵜⴼⵔⴹ sm. nv. f. 3bis ; φ (pl. itefrîḍen ⵜⴼⵔⴹⵏ), daṛ tefrîḍen ‖ fait d’être balayé ; fait de se balayer ‖ a t. les s. c. à c. de la f. 3bis.
— tăsefreṭ ⵜⵙⴼⵔⵟ sf. φ (pl. tisefrâḍ ⵜⵙⴼⵔⴹ), daṛ tsefrâḍ ‖ balai (objet qlconque servant à balayer les ordures).
ⴼⵔⴹ efreḍ ⴼⵔⴹ ✳ vn. prim. ; conj. 26 « eksen » ; (ifrĕḍ, ifrâḍ, éd ifreḍ, our ifriḍ) ‖ être obligatoire (en vertu de la loi divine) ‖ p. ext. « être obligatoire (en vertu d’un commandement humain) » ‖ l’expr. d’origine touaregue hab. employée pour signifier « être obligatoire (en vertu de la loi divine) » et « être obligatoire (en vertu d’un commandement humain) » est le v. ăour « être sur » empl. d. le s. « être nécessaire pour », ayant pour suj. la ch. obligatoire, pour rég. dir. les p. pour lesquelles elle est obligatoire, pour rég. ind. un mot signifiant Dieu ou une p. accompagné de ṛour « de chez ». (Ex. ămoud iouâr i ṛour Mess-îneṛ ⁒ la prière est sur moi