Page:Forneret - Pièce de pièces, temps perdu, 1840.djvu/28

Cette page a été validée par deux contributeurs.

Une femme s’approche de moi ; son cœur est sur sa main.

Une épée sort et rentre dans la terre tout autour d’elle. On dirait qu’il y a à cette épée des rubans et un œil qui regarde.

Tout à coup l’épée fait rouler vers moi la femme. J’ai peur. Je la repousse. Elle se retourne, et j’entends du fer frapper sur du bois à coups non mesurés comme un remuement de tonnerre.

Et j’entends des morceaux de paroles que la femme me jette.

Et je vois dans l’air

Quatre hommes à manteaux, avec chapeaux grands, avec bâtons gros.