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Preface
Je suis à peu prés dans le mesme cas où se trourva Ciceron, lors qu’il entreprit de mettre en Latin des Matieres de Philofophie, qui jusque-là n’avoient esté traitées qu’en Grec. Il nous apprend qu’on disoit que ses Ouvrages seroient fort inutiles, parce que ceux qui ai-