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— Oui, oui, ma Colette, tu es une grande vicieuse !…

Et les deux lesbiennes d’éclater de rire et de se baiser et rebaiser avant de s’endormir toutes les deux dans le même grand lit, enlacées voluptueusement…

Le lendemain matin dans la salle à manger, Colette et Jacqueline savourent leur chocolat. Elles sont déjà prêtes à sortir, charmantes dans leur robe claire. Celle de la grande cousine est assez échancrée sur la poitrine, et l’on peut voir sans peine la naissance de deux jolis seins qui bombent et tendent hardiment la fine étoffe qui les moule, en en modelant les harmonieuses courbes, depuis la base jusqu’au délicieux bouton rouge.