Page:Fontanges - Délicieuses voluptés, 1935.djvu/157

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 157 —

nade dans le parc, et avec polissonnerie, il lui dit :

— Dans le parc, à l’endroit même où je vous ai vu le premier jour, nue en compagnie de Colette…

— Oh ! répond Jacqueline, qui se déride un peu, vous m’avez vue nue une autre fois…

— Oh ! oui, Jacqueline chérie, et vous en conservez le souvenir !

Comme j’en suis heureux ! Et comme je souhaite recommencer ce que nous fîmes tous les deux ce jour-là !…

Jacqueline, rougissante, entraîna le jeune homme dehors.

— Alors, vous voulez bien aller avec moi, dans le parc ?…

La douce Jacqueline ne répondit pas, mais elle se laissa guider à travers les allées, vers le lieu dé-