vous ai rien fait de mal, au contraire ; je crois que j’ai fait tout ce que j’ai pu pour vous rendre ici la vie, si pas agréable, au moins supportable… Je vous ai même laissé voir ma sympathie… et ça n’a fait qu’augmenter depuis que vous êtes ici… Je vous ai regardé comme un ami.
Votre ami !
Mon grand ami… Eh bien, aujourd’hui je ne sais pas, il y a quelque chose… On dirait que vous êtes fâché… que vous n’êtes plus bien avec moi… je ne sais pas pourquoi… Et ça me fait beaucoup de peine.
Mais, Mademoiselle, je vous assure, je ne comprends pas, je n’ai ni colère, ni rancune.
Voyons… parlez-moi franchement… dites-moi ce que vous avez sur le cœur… je vous en prie…
Eh bien, non !… je ne peux pas vous dire… je ne peux pas…
Pourquoi ? Est-ce que vous n’avez pas confiance en moi ?