Page:Fludd - Traité d'astrologie générale, trad Piobb, 1907.djvu/281

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

I. — CERTITUDE DE CETTE PARTIE
DE L’ASTROLOGIE


Cette application de la science astrale se trouve confirmée dans ses résultats certains non seulement par la pratique et l’expérience des autres auteurs, mais encore par les miennes propres.

Nous avons vu, au début de cet ouvrage, comment les astres pouvaient, dans une certaine mesure, imposer la fatalité du crime et du vol, quoique la Mens possède un certain pouvoir sur les astres, et que ce ne soit pas sans raison que l’on ait dit : le sage domine le ciel[1]. Mais la

  1. Le sage dont il est question ici, c’est le mage, celui qui a reçu l’initiation. Le pouvoir sur les astres que cet homme possède alors, ou semble posséder, c’est celui que lui donne la pratique de la Haute-Magie.