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A DIANE



Pauca… sed quæ legat ipsa Lycoris


A la déesse aux traits vainqueurs,
Dont la flèche magicienne,
En blessant, fait chanter nos cœurs,

Et dont la grâce olympienne
Nous ensorcèle exquisement,
A Diane parisienne

J’offre ce simple diamant
Tombé d’elle, et qu’en des jours tristes,
J’enchâssai maladroitement

Dans ces vers aux tons d’améthystes.