Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
eux enfants d’un fermier, gentils,
espiègles, beaux,
Mais un peu gâtés par leur père,
Cherchant des nids dans leur enclos,
Trouvèrent des petits perdreaux
Qui voletaient après leur mère.
Vous jugez de leur joie, et comment mes bambins
À la troupe qui s’éparpille
Vont partout couper les chemins,
Et n’ont pas assez de leurs mains
Pour prendre la pauvre famille !
La perdrix, traînant l’aile, appelant ses petits,
Tourne en vain, voltige, s’approche ;
Déjà mes jeunes étourdis