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VIII.

LIMA ET SES MŒURS.


Ma tante Manuela me fut d’un grand secours ; elle me fit connaître la ville et la haute société ; elle me témoignait beaucoup d’amitié ; ce n’était pas ce sentiment que font naître des rapports sympathiques ; je ne pense pas qu’il en existât entre nous. Toute belle qu’elle est, ses yeux n’expriment pas la franchise et ne