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VI.

MON DÉPART D’ARÉQUIPA.


Le vendredi 25 avril, M. Smith vint me prendre à sept heures du matin ; j’étais prête à monter à cheval, et mes traits n’annonçaient aucune agitation. J’éprouvais cependant une vive émotion en abandonnant ces lieux : je quittais la maison où était né mon père ; j’avais cru y trouver un abri, et, pendant les sept