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existence ; mais Dieu n’a pas permis que mon oncle en eût la volonté.

La veille de mon départ, don Pio me renouvela la promesse qu’il m’avait faite devant toute la famille, de m’assurer, aussitôt que la tranquillité serait rétablie, la pension de 2,500 francs qu’il me faisait, et me remit une lettre pour M. Bertera, auquel il donnait l’ordre de me la payer exactement et d’avance.