Page:Flora Tristan - Peregrinations d une paria, 1838, II.djvu/199

Cette page a été validée par deux contributeurs.
195

qu’avant mon départ d’Aréquipa, j’allai plusieurs fois causer au parloir avec mes anciennes amies. Dans cette circonstance, ces dames me comblèrent encore de petits cadeaux et me donnèrent la commission de leur envoyer de France de la musique de Rossini.