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VIII.

ARÉQUIPA.


Je me trouvais donc dans la maison où était né mon père ! maison dans laquelle mes rêves d’enfance m’avaient si souvent transportée, que le pressentiment que je la verrais un jour s’était implanté dans mon âme, et ne l’avait jamais abandonnée. Ce pressentiment tenait à l’amour d’idolâtrie avec lequel j’avais aimé mon père,