Cette page a été validée par deux contributeurs.
demande, à laquelle, ma cousine ne pouvait que se rendre, contrariait fort l’honorable société. On me conduisit dans une partie de la maison, composée de deux grandes pièces plus que mesquinement meublées ; quantité de personnes ainsi que les moines m’accompagnèrent jusque dans ma chambre à coucher ; ceux-ci m’offrirent même, en riant, de m’aider à me déshabiller. Je chargeai Emmanuel de dire à ma cousine que je désirais qu’on me laissât. Tout le monde se retira, et enfin, vers minuit, je parvins à être seule chez moi avec une petite négresse qu’on me donna pour me servir.