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III.

LA VIE DE BORD.


Pendant les huit premiers jours, je fus aussi malade que je l’avais été en sortant de la rivière de Bordeaux. Ma maladie prit ensuite un cours régulier : je vomissais tous les matins ; je me trouvais mieux vers midi ; de deux à quatre heures, j’éprouvais un fort malaise, et de quatre heures du soir au lendemain matin,