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Le comte de Lorge consulte, sur ses difficultés, Bossuet et Claude séparément 
 260
Conférence entre Bossuet et Claude, en présence du comte de Lorge 
 ib.
Embarras du comte de Lorge pour s’ouvrir avec les siens de sa résolution d’abjurer 
 261
Confidences réciproques du comte de Lorge et de Turenne 
 262
Désespoir de la comtesse de Roye en apprenant que son frère va abjurer 
 ib.
Paroles de Bossuet à la duchesse de Rohan-Chabot 
 263
Le comte de Lorge et le comte de Rozan abjurent le 6 fév. 1669 
 ib.
Mademoiselle de Duras, sœur de ces trois seigneurs, ramenée par Bossuet dix ans après 
 265
Panégyr. de saint-André, par Bossuet. (18 nov. 1668.) 
 ib.
Le P. des Mares entendit alors Bossuet, et l’admira 
 268
Bossuet, en 1668, prêche l’Avent à Saint-Thomas du Louvre. — Turenne 
 269
Panégyriques de saint Thomas, apôtre, et de saint Étienne, 1er martyr 
 270
Panégyrique de saint Thomas de Cantorbery. (29 déc. 1668.) 
 ib.
Séjour de Félix Vialart à Paris. Bossuet le voit souvent 
 272
Entretiens de Bossuet et de Félix Vialart sur les moyens de procurer la réunion des religionnaires 
 269
Puissants motifs qu’avaient les négociateurs pour désirer ardemment la paix 
 ib.
De la Grande Perpétuité 
 274
Écrits d’Arnauld pour la défense de la religion catholique contre la réforme 
 ib.
Le désir de rendre utiles à l’Église nombre d’écrivains doctes et pieux anima les prélats, négociateurs de la paix 
 ib.
Vingt-sept prélats et vingt-cinq docteurs approuvèrent le livre 
 275
Bossuet approuva spontanément le tome 1er de la Grande Perpétuité 
 277
Raisons de croire que Bossuet fut consulté sur tout l’ouvrage de la Grande Perpétuité 
 278
La version du Nouveau Testament, dite de Mons 
 280
La version de Mons, censurée par l’archevêque de Paris. (18 novembre 1667, 20 avril 1668.) 
 282
La version de Mons censurée par un bref du 20 avril 1668 
 285
Les prélats négociateurs de la paix désirent une révision de la version de Mons 
 ib.

{{table|titre= L’archevêque de Paris consent à la révision de la version de Mons,