Page:Fleury - Album de poésies et chansons, 1858.djvu/52

Cette page n’a pas encore été corrigée


VIII

Triste ou gai, dans cette vie,
Chacun a le sien,
Et personne, je parie,
Ne voudra du mien.
Si l’on me fait cette niche
J’irai, c’est certain,
Rendre à ma tante Gribiche
Son réveil-malin.