trouvant si mal dans ce pauvre monde. » Je lui ai promis deux écuelles de soupe et deux bonnes places dans le grenier à foin du presbytère si sa tournée ne lui permet pas de regagner sa hutte, et j’ai quitté le vieil apôtre qui pratique à sa manière et dans la mesure de ses forces le commandement évangélique.
Il faut aussi que je te quitte, mon cher René, nous t’embrassons de tout notre cœur.
P. S. — Au moment de fermer ma lettre, je reçois un billet de madame Anne Bourgeauville. Elle me demande d’aller passer la journée de mardi à son cottage de La Brise, elle me promet une promenade en mer. C’est bien tentant.
XX.
Je suis heureuse de te savoir si bien avoisinée, ma chère Mélite, je suis heureux de voir que cette vie acceptée par dévouement aura ses