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mon sillon.
Adieu, je laisse retomber ma tête fatiguée dans mes mains, et je te quitte bien vite pour ne pas t’attrister plus longtemps.
Ton frère affectionné
René.
P.-S. Pas un mot de ceci à tante Marie.
XIII.
Mélite à René.
Damper.
Non, ce n’est pas dans tes mains qu’il faut poser ta tête souffrante, mon cher René, c’est sur la faible épaule de ta sœur que l’impérieuse nécessité peut seule retenir à Damper depuis qu’elle sait que tu souffres à Paris. Que dirai-je pour relever ce fier courage abattu ? Quel baume poserai-je sur cette blessure saignante ? Je n’en ai qu’un, toujours le même, mais qui ne saurait perdre de sitôt sa force : mon affection dévouée. Il faut sortir de cet affaissement, mon cher René,