Page:Fleischmann - Le Rival de Sherlock Holmes.djvu/111

Cette page a été validée par deux contributeurs.

l’expliquer. Il effaça donc le chiffre, me souhaita le bonsoir et s’en fut se coucher. Le lendemain, Hopkins trouva sa porte barrée d’un autre chiffre :

9

C’était la même dimension que celui du 10 de la veille. Cette fois mon ami parut soucieux. Le groom effaça la craie et le lendemain encore, qui était un lundi, on trouva sur le panneau un grand :

8

— Ah ! Ah ! dit Hopkins, les gaillards prolongent la plaisanterie, je crois.

Cette fois on n’effaça pas le chiffre et on attendit le mardi. Sur la porte s’étalait un :

7

Hopkins devint silencieux. Il cherchait visiblement à pénétrer l’énigme de ces chiffres mystérieux dont le total allait chaque jour en décroissant. Le mercredi la porte fut barrée par un nouveau chiffre :

6

Le mystère augmentait. Hopkins monta la garde derrière la porte. Le jeudi, l’ayant