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Gruchet.
Alors, il ne fallait pas prendre cette place !
Julien.
Si j’en avais une autre !
Gruchet.
Quand on n’a pas de quoi vivre, c’est pourtant bien joli !
Julien, s’éloignant.
Ah ! la misère !
Murel.
Laissons-le bouder ! Asseyons-nous, pour que j’écrive votre profession de foi.
Gruchet.
Très-volontiers ! (Ils s’assoient.)
Julien, un peu remonté au fond.
Comme je m’enfuirais à la grâce de Dieu, n’importe où, si tu n’étais pas là, mon pauvre amour ! (Regardant la maison de Rousselin.) Oh ! je ne veux pas que dans ta maison aucune douleur, fût-ce la moindre, survienne à cause de moi ! Que les murs qui t’abritent soient bénis ! Mais… sous les acacias, il me semble… qu’une robe ?… Disparue ! Plus rien ! Adieu. (Il s’éloigne.)
Gruchet, le rappelant.
Restez donc ; nous avons quelque chose à vous montrer !