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CORRESPONDANCE

nous nous mettrons à la recherche de l’emplacement du veau d’or[1].


1708. À GUY DE MAUPASSANT.

Entièrement inédite.

Mardi, 25 septembre 1877.
Mon Bon,

Ne vous dérangez pas samedi prochain pour venir à Croisset comme vous me l’aviez promis, parce que, ce jour-là, je ne serai pas revenu dans mes lares. Mon excursion durera encore une huitaine.

Je ne serai pas à Paris avant le jour de l’an au plus tôt. Donc, d’ici-là (et quand il vous plaira), venez passer trente-six heures chez

Votre.

(Bayeux, mardi)

Mon compagnon Laporte vous fait des m’amours… et vous trouve bien ingrat ! Lui qui vous a envoyé, par mon canal, un si joli portrait.

Tendresses à la chère maman.


1709. À SA NIÈCE CAROLINE.
Falaise, samedi matin [29 septembre 1877].

Oui, mon loulou, j’ai reçu tes deux lettres adressées à Caen, et ce matin la troisième, datée de mercredi.

  1. Voir Bouvard et Pécuchet, p. 140.