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CORRESPONDANCE

aux moelles. Je n’écris que pour les esprits comme le vôtre ; me voilà donc payé.

Une forte poignée de main et

Tout à vous.


1665. À GUY DE MAUPASSANT.
Mercredi [avril ou mai 1877].
Jeune lubrique,

Voulez-vous, afin d’entendre le 1er  chapitre de Bouvard et Pécuchet, venir dîner vendredi à 6 h. ½ chez votre.


1666. À GEORGES CHARPENTIER.

Entièrement inédite.

[Paris] vendredi matin [début de mai 1877].

Nous n’avons pas réglé la question des traductions ! M’appartiennent-elles ?

Un certain M. Bonnet me demande à faire une traduction allemande. C’est un ancien professeur d’allemand au lycée Monge. Que dois-je lui répondre ? Nous n’avons rien réglé là-dessus.

Voilà trois jours que je vais à la Bibliothèque nationale ; aucun étalagiste du Palais-Royal n’a mon volume. Pourquoi ? Et il n’en restait plus à la librairie nouvelle hier soir.

Tout à vous.

Vous devriez avoir pitié de moi, qui suis sur-