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CORRESPONDANCE

1890. À GEORGES CHARPENTIER.
Croisset, par Déville, près Rouen, samedi matin.
[septembre-octobre 1879.]
Mon cher Ami,

Envoyez-moi le papier qu’il faut pour les deux dessins.

Dès qu’ils seront tirés, envoyez-moi les deux épreuves. Ma nièce désire les voir pour y retoucher.

Est-ce qu’il faut deux autographes ? Deux autographes en regard, ça me paraît coco ? Tout à vous.


1891. À GEORGES CHARPENTIER.
Mardi soir [Croisset, septembre-octobre 1879].
Mon cher Ami,

Vous commencez à me devenir très désagréables, vous et Bergerat, qui prend votre genre de ne pas répondre aux lettres qu’on lui envoie.

Donc je vous demande :

1o Ce que devient la Féerie ?

Où en sont les dessins ?

Quand paraît-elle ?

Et cette préface ?

N. B.2o Vu la rigueur de la saison, il me serait agréable de recevoir l’argent du dernier