Envoyez-moi le 21 ou le 22 votre manuscrit à Croisset. Je vous promets de le lire attentivement et de vous en dire mon avis en toute franchise.
Je vous serre la main avec cordialité.
Je suis étonné, stupéfait et même inquiet de n’avoir pas de nouvelles de ma pauvre fille ! Comment ! depuis plus de huit jours, pas un mot !
[…] Je continue à corriger l’Éducation sentimentale. L’affaire avec la Vie Moderne, pour la publication du Château des Cœurs, est arrangée. Ils vont faire des affiches ! Il faudra que « Mme Commanville » collabore à cette publication par un dessin. Je t’expliquerai ça dimanche soir, car j’espère être revenu à ce moment-là près de toi, mon pauvre loulou.
Ma vacance m’a fait du bien, mais je commence à éprouver le besoin d’être chez moi, comme un petit bourgeois.
Le Moscove a été enthousiasmé de mon chapitre.