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CORRESPONDANCE

1881. AU MÊME.
[Paris] Mercredi 2 heures [septembre 1879 ? ]

Eh bien ? et mon livre, ou plutôt mes livres (le Tristran et le Machiavel) ? Quand les aurai-je ? Vous m’oubliez complètement, cher ami ! Je n’attends que ces deux volumes pour fermer ma boîte et m’en retourner chez moi travailler.

Au revoir, homme léger !

Et tout à vous.


1882. À FRANÇOIS COPPÉE.

Entièrement inédite.

10 septembre 1879.
Mon cher Ami,

Lemerre m’a remis un volume de votre théâtre orné d’une splendide dédicace. Merci trois fois de l’un et de l’autre.

Si je ne vous savais aux Eaux-Bonnes, j’aurais été vous voir.

Tout à vous.

Quand nous trouverons-nous ensemble ? Je resterai encore tout cet hiver à Croisset ! Mais au printemps, mon horrifique roman sera fini, je l’espère, et il faudra, mon cher ami, tailler une ou plutôt des bavettes formidables.