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DE GUSTAVE FLAUBERT.

entière tienne dans un seul volume. Envoyez-moi un spécimen.

Et donnez-moi de vos nouvelles, de vous et des vôtres.

Et ne vous endormez pas dans les délices de Dieppe. Prenez garde au soleil !

Je vous embrasse.

Quand faut-il compter sur votre visite ?


1869. À PHILIPPE LEPARFAIT.

Entièrement inédite.

Dimanche soir 6 heures. [1879]
Mon cher Ami,

Je comptais sur ta visite aujourd’hui et suis fâché de ne pas te voir. Celle de jeudi ne compte pas : elle était trop courte.

Lemerre m’a écrit avant-hier qu’immédiatement après Salammbô (qu’il est en train d’imprimer) il va se mettre aux Poésies complètes de L. Bouilhet ; donc, que je lui envoie « Festons et Astragales, Mélaenis et Dernières Chansons ». Je ne possède ces trois volumes que reliés ; ils seraient perdus et d’ailleurs gêneraient les imprimeurs.

Peux-tu, toi, les envoyer illico à Lemerre, ou prier Billard de se charger de la commission ? Cela est urgent.

Envoie-moi cinq litres d’eau-de-vie comme celle de la dernière fois.

2o  Quatre de Bourgogne, à ton choix,