des choses à vous dire, seul à seul, au coin du feu ! Savez-vous comment je vous appelle au fond de moi-même, quand je songe à vous ? (ce qui arrive souvent). Je vous nomme « ma jeunesse ».
Bénédiction sur vous et ce que vous aimez et, du fond du cœur, à vous.
J’ai répondu à ce monsieur de s’adresser à vous, car j’ignore quels sont mes droits. À qui maintenant appartient la traduction ?
Mais, il y a déjà une traduction de Bovary ?
Si c’est à moi que revient le prix de la traduction (ce que je crois), faites le marché pour moi et tâchez de me tirer un billet de 500 francs.
Je ne vous parle plus de Saint Antoine !!!
On n’a pu me dire chez vous votre adresse au bois de Boulogne ; et voilà quinze jours que j’attends un article sur Salammbô que vous deviez m’envoyer. Enfin !
Et je suis de plus en plus crevant.
À vous.