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DE GUSTAVE FLAUBERT.

Il commence à faire un joli froid, et je brûle beaucoup de coke (rien de Paul de Kock).


1791. À ÉMILE ZOLA.
[Croisset], dimanche 5 h. [20 janvier 1879].

Je viens d’envoyer chercher à Rouen le Figaro et le Gaulois, et je vois que la soirée a été splendide, immense succès ! Ah ! enfin, voilà quelque chose de bon qui arrive. Vous n’imaginez pas comme je suis content, mon cher ami.

Mes amitiés à votre femme.

Je vous embrasse. Votre.

« Et pas décoré pour ça » !

Pas décoré à cause du fameux article ! Sont-ils bêtes, nom de Dieu !

Empochez vos droits d’auteur, et foutez-vous du ruban de Gustave Droz et de celui de Porto-Riche.

Il devait y avoir à la première de bien bonnes [têtes] d’embêtés parmi MM. les critiques. Que n’y étais-je !

Écrivez-moi. Détails si vous avez le temps.


1792. À SA NIÈCE CAROLINE.
21 janvier 1879.
Chérie,

Ne t’inquiète pas de la féerie, tant pis pour d’Osmoy !