dant du bon. Je lis de lui un traité sur l’éducation, et à la fin du mois j’aurai avalé (et annoté) vingt volumes que je renverrai à Mlle Cardinal[1].
Le citoyen Émangard n’en trouve pas moins que « je ne fais rien ». C’est à moi-même qu’il l’a dit…
Comme il y a longtemps que nous n’avons correspondu, Princesse ! J’attendais toujours, pour vous écrire, que je susse l’époque de mon prochain retour à Paris. Carvalho doit m’y appeler, mais je n’entends pas parler de lui, et d’ici à ma visite dans le bon Saint-Gratien (ce qui aura lieu, j’espère, dans une quinzaine), je voudrais bien savoir comment vous allez, ce que vous devenez.
Moi, je n’ai pas perdu mon temps, car j’ai beaucoup travaillé, et depuis, je me suis occupé de mes affaires, qui prennent une assez bonne tournure ; mais cela est peu important.
Je sais que le prince Napoléon est à Paris, et j’ai vu de sa prose imprimée. Qu’en pensez-vous[2] ? Je crois qu’il va trop vite.
Quand la fusion sera coulée, sera-t-on un peu tranquille ? ô mon Dieu !