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DE GUSTAVE FLAUBERT.

1578. À MADAME MAURICE SAND.
[Paris], jeudi soir [25 mai 1876].
Chère Madame,

J’ai envoyé ce matin un télégramme à Maurice pour avoir des nouvelles de Madame Sand. On m’a dit hier qu’elle était très malade. Pourquoi Maurice ne m’a-t-il pas répondu ?

J’ai été ce matin chez Plauchut, afin d’avoir des détails. Il est à la campagne, au Mans, de sorte que je reste dans une incertitude cruelle.

Soyez assez bonne pour me répondre immédiatement et me croire, chère madame, votre très affectionné.

4, rue Murillo, parc Monceau.


1579. À MADAME MAURICE SAND.
[Paris], samedi matin, 3 juin [1876].
Chère Madame,

Votre billet de ce matin me rassure un peu. Mais celui d’hier m’avait bouleversé. Je vous prie de me donner des nouvelles très fréquentes de votre chère belle-mère. Embrassez-la pour moi, et croyez bien que je suis

Votre tout dévoué.

À partir du milieu de la semaine prochaine, vers mercredi ou jeudi, je serai à Croisset.