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CORRESPONDANCE

potager, excursion que je vais accomplir ce soir.

Il est probable que samedi prochain j’irai avec Laporte voir la ferme modèle de Lizors.

As-tu trouvé des serviteurs ?

Vite une réponse définitive sur tes projets.

N. B. — Que faut-il que j’écrive au fermier de Deauville ?

Adieu, pauvre chat. À bientôt, enfin.

Deux bons baisers de

Vieux.


1504. À ÉMILE ZOLA.
Croisset, dimanche [11 octobre 1874].

Merci de votre bonne lettre, mon cher ami, et de tous les détails que vous me donnez.

Loin d’être contrarié pour le retard de ma pièce, il me fait plaisir.

Et je profiterai de vos conseils. Dès que je serai débarqué à Paris, j’irai vous voir.

Prévenez-moi un peu d’avance, pour que je puisse me rendre à votre répétition générale et à votre première. J’y serai, comptez là-dessus.

Tout à vous. Votre.


1505. À SA NIÈCE CAROLINE.
[Croisset], jeudi 15 octobre 1874.

Il me semble, mon loulou, que : puisque tu ne resteras que quinze jours dans le pauvre Croisset,